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TÉMOIGNAGES INSOLITES dans les ARCHIVES
« Quand nos ancêtres parlaient de météorologie, de catastrophes et phénomènes naturels »
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Commune
et/ou paroisse
Cote(s) AD
Date et type d'événement
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Transcription du document

Saint-Symphorien-de-Mahun

(Ardèche)

BMS

1709

froid

INTROUVABLE

(info https://fr.geneawiki.com/index.php/Le_Grand_Hiver)

 Le froid commença par un air extrêmement vif le jour de la fête des rois, et il fut si violent pendant fort longtemps que tout devenait glacé même aussi près du feu, et il est à remarquer que cent ans auparavant c’est-à-dire l’an 1608, il fit un froid à peu près semblable qui emporta aussi la récolte. L’on était en peine où se mettre à l’abri de ce froid excessif et rigoureux, l’on entendait les arbres les plus gros se fendre avec fracas par le milieu, tellement que la majeure partie en fut étouffée, et le bruit effroyable qu’on entendait annonçaient les signes qui devaient précéder la fin du monde et le jugement universel ; De là bien des pauvres moururent pour manquer du nécessaire à la vie animale, ou de la rigueur du froid. On assure même que ce froid violent saisit les entrailles et le cœur de plusieurs voyageurs et les rendit victimes d’une pitoyable mort. Après le dégel, il se fit une nouvelle glace pour un nouveau froid qui se manifesta bientôt après, les semences furent étouffées ou pourries dans le sein de la terre. Ici qui pourrait exprimer la consternation générale de cet événement sinistre, Lorsque le printemps arriva, au lieu d’apporter la joie ordinaire sur la terre par la verdure des champs et par la fleur des arbres ; au lieu de consoler le laboureur par l’espérance de ses fruits, ne lui présenta que l’idée de la mort et du désespoir ; En effet le blé seigle qui ne se vendait que 5 sous la quarte, lorsque cette désolante intempérie eut lieu, augmenta considérablement, et au point que le besoin de vivre et d’ensemencer de nouveau les terres, le froment se vendit jusqu’à 12 F la quarte, le seigle 9 F la quarte, le vin 28 F la somme, les pois ou haricots 8 F, le blé noir 9 F, les truffes 3 F, le pain blanc 6 sous et le pain bis dont on ne pouvait avoir à Annonay, que par des billets des consuls, 4 sous le reste des comestibles à proportion, excepté la viande qui fut toujours assez bon marché. Il n’y a que ceux qui vivaient en ce temps là qui puissent apprécier la misère des pauvres ; En effet la plupart après avoir employé le peu d’argent qui était en leur pouvoir pour s’aider à subsister, vendirent leurs meubles même avec empressement, et lorsqu’ils avaient épuisé cette ressource, ils vendaient leurs propriétés avec le même empressement, quoiqu’à fort bas prix, pour se garantir de mourir de faim. Mais le Roi Louis 14, touché de la situation où cette calamité publique avait réduit le bas peuple, promit par différentes déclarations de faire rentrer chacun dans ses droits, en remboursant le montant des acquisitions. Ce qui contribua à cette cherté extraordinaire des vivres fut : 1° que le froid se fit sentir aussi violemment dans tout le royaume et les nations voisines, de sorte que l’un ne pouvait rendre aucun service à l’autre ; La multitude des pauvres devint telle que ceux qui auraient été dans le cas de faire des aumônes étaient réduits eux même à la dure extrémité de la demande après un certain temps; Ce qui contribua d’avantage à la misère fut la dureté tout à fait criminelle des riches qui ne leur tendirent que peu de secours, à la réserve de quelques uns, mais en petit nombre ; sans doute parce que les uns étaient jaloux de s’engraisser de la subsistance des malheureux et les autres craignaient d’être atteints eux même par la disette, en comptant trop peu sur la divine providence. Il y en eut beaucoup qui ne mangeaient que de viande qui était encore à très bon prix ; Ceux qui n’avaient point d’argent pour s’en procurer, vivaient de quelques herbages, ce qui causa des maladies et en conduisit plus au tombeau que la famine etc. Il se fit du pain de son, et quelques uns mêlaient à un peu de farine du gland et des grappes de raisin, Il mourait tous les jours des pauvres dans leurs maisons et dans les rues, plutôt de faim que de maladie. Rien n’était plus affligeant que de voir les portes des gens aisés assiégées par les pauvres demander le plus pitoyablement, la mort peinte sur le visage, quelques morceaux de pain qui étaient si rares pour eux qu’ils passaient souvent plusieurs jours sans en gouter. Il se commettait journellement des vols. Dieu versa une telle bénédiction sur les orges et avoines qui furent semés après l’hiver, qu’un sestier en produit jusqu’à vingt. Du reste, les usuriers furent singulièrement punis de leur cupidité, car la plupart ayant fait des accaparements en blé et autres objets sujets à spéculation, se virent forcer à livrer à un prix modéré ce qu’ils avaient accaparés : en moins d’un Dieu répandit la bénédiction sur la terre.

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Castanet

(Tarn)

BMS
1701 - 1734
1E 61/3
série communale

vue / 47

1709

INTROUVABLE

(info http://hg-gassin.chez-alice.fr, relevé Geneadom)

Le septième de janvier, au dit an, en Albigeois, l'hiver commença rudement ; il fit quantité de neige jusqu'au vingt février ; les arbres furent pendant plusieurs jours couverts de glaçons, et le froid fut si rude qu'on ne se souvenait plus d'en avoir vu de semblable. Le vin glaçait dans les caves et faisait fendre les barriques, le pain se gelait en quelque endroit que ce fut et jusqu'au 25 février. Les noyers périrent entièrement, plusieurs chênes et quantité de pruniers et autres
arbres fruitiers se séchèrent, ce qui causa une si grande disette qu'on
fut obligé à Albi de tenir le blé à 14 livres le setier et d'en empêcher la sortie, les mois de mai, juin, juillet et août.  Il vint jusques audit temps à 20 livres le setier et on obligea, par ordre
de Sa Majesté, de faire le dénombrement des grains que chaque
particulier avait audit an, à la récolte qui fut le 16 d'août. Le blé
valait à Albi 24 livres le setier, le seigle 18 livres, les fèves
autant, ce qui dura jusqu'aux semailles. Au mois d'octobre, audit an, la rivière du Tarn inonda si fortement que l'eau montait jusque près la porte de l'église de la Madeleine, ce qui
causa beaucoup de dommage: elle emporta les toits des moulins d'Albi
jusqu'à Gaillac Cordes et inondait partie de la plaine qui est le long du dit chemin, en sorte que pour aller d'Albi à à Mailhoc, et l'eau abattit plusieurs maisons du côté des Avalats. Cette inondation donna de la crainte à toute la ville dAlbi qui fit une procession générale pour prier Dieu de vouloir apaiser cette inondation.

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Lavelanet

(Ariège)

BMS

1612

sécheresse

INTROUVABLE

(info http://archives.ariege.fr, relevé Geneadom)

l’an mil six cent douze, il y eut une grande sécheresse sur la terre et demeura sans pluie l’espace de quatre ou cinq mois que peu ne fut, tellement que pour apaiser l’ire de Dieu, l’on fit de grandes processions

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Angles-sur-l'Anglin

Sainte-Croix

(Vienne)

BMS
1741 - 1760 collection communale
69

vue / 99

1753

sécheresse

INTROUVABLE

(info http://ge86.fr/, relevé Geneadom)

 

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Dangé

(Vienne)

BMS

vue /

05/12/1740

crue

inondation

INTROUVABLE

(info http://ge86.fr/, relevé Geneadom)

https://archives-deux-sevres-vienne.fr

La nuit du 5 au 6 décembre 1740 la rivière de Creuse a tellement enflé ses eaux qu'elle
a découvert toutes nos plaines... son cours fut si rapide qu'elle creusa
les terres jusqu'au rocq dont quelques unes étaient emblavées en gros
bled, couvrit les prairies de pierres et de sable, renversa un grand
nombre de maisons, noya les bestiaux, emmena des meules, gerbes et
autres denrées des particuliers qui eurent peine à sauver leur vie
par la fuite en abandonnant leurs maisons au gré de cette eau
impitoyable., jamais désolation ne fut pareille

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Puiseaux

(Loiret)

BMS

vue /

folio

11/07/1698

orage

inondation

INTROUVABLE

(info https://mavieavec-alix-soizic.blogspot.com)

Le vendredy onziesme juillet 1698 apres midy sur le soir avons eu un orage si funeste et si grand q(u)e nous croyons tous estre a la fin de nos iours, qui a duré 2 heures et demie du----s en sorte q(u)e tout le bois de la voutte de l’église a esté percé d’eau et tous le peuple obligez de la retire dans le cœur de l’eglise. Les champs et la campagne toute couverte d eau de 3 ou 4 pieds d’eau et de gresle au tiers ou plus en sorte q(u)e cet orage n a pas esté moins funseste q(u)e celui du III iuin passé et VI may et q(u)e le peuple des habitans de Piseaux croient encore estre touts perdus et abismez ainsy q(u)e...
Signé Chenault

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Limas

(Rhône)

BMS
1696 - 1736
4 E 1918

vue  /

22/08/1708

orage

pluie

grêle

 

1709

froid

INTROUVABLE

Pas en ligne.

Nota que le 22 du mois
d'aoust 1708, environ sur les buict heures du soir, il tomba
une gresle d'une grosseur extraordinaire l'espace environ
d'une heure ; elle fût presque universelle. Elle ne laissa rien
du tout dans la paroisse de Limas. Heureusement le bled
étoit cueilli ; la dixme du vin fut abandonnée. La récolte du
bled fut si modique que ce fut une petite famine ; le bled
valut S 1. le bichet le 4 de février 1709. L'hyver fut si
violent et commença le lendemain des rois, par une bize si
extraordinaire que nul n'at jamais veu une semblable. La
Saône et le Rosne furent glacés dans ce niesme jour, et d'une
glace d'une épaisseur de 26 pouces, les chareltes ont passé
sur le Rosne. Ce grand froit dura quinze jours avec tant de
violance que plusieurs moururent en chemin. Les bords de
la mer de Marseille glacèrent plus de 40 pas de loing. Le
quinze du mois d'avril suivant, le bled valut 60 I. la neuvaine.
L'on espérât jusqn'à ce jour du 15 avril, que les bleds
que l'on avoit semé avant l'hyver paroistroient ; l'on fit
même des dcfifenses de relabourrer ces terres où l'on espéroit
les bleds. Mais le 15 avril étant passé, l'on resema toutes les
terres avec orge, pezette et avoine et autre légume. L'orge
valut le bichet, lorsqu'il fallut le semer, le bLchet quatorze
livres ; la pezette valut autant, et l'avoine quatre livres le
bichet. La miséricorde de Dieu parut visiblement dans la
récolte des menus grains, car elle fut si abondante que ciiaque
mesure de grain que l'on semât en produisit quarante
bichet, en telle sorte que cette année de menus grains fut
plus vive et plus abondante que si la récolte n'avoit point
gelé

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Limas

(Rhône)

BMS
1696 - 1736
4 E 1918

vue  /

folio 73

24/05/1709

froid

 

08/06/1709

pluie

INTROUVABLE

Pas en ligne.

A tel jour qu'aujourdhuy (24 mai 1709),
le gros pain, la livre valoit quatre sous, le pain blanc valoit
six sous ; le seigle valoit douze livres le bichet ; le fromant
valoit quatorze livres le biciict ; l'orge quatorze livres le
bichet. Le bichet de pezette et aricot valoit autant; le
bichet d'avoine 4 1. ; le bichet de bled noir valoit 12 I. Il ne
se cueillit auucn grain de bled, de seigle, ny de fronianl,
presque dans tout le royaume, à l'exception de quelques
coing de terre dans les hautes montagnes, qui se trouvèrent
couvertes de nèges et à l'abri d'une épouvantable bize qui
arriva le lendemain des Roy, qui causa une si grande gelée,
qui durât tout le mois de janvier sans diminuer, que tous les
bleds gelèrent, et ipus les noyer et toutes les vignes. La
disette du pain fut si grande que les pauvres ne vescurent le
mois d'avril et de may que d'herbes de pré, .sçavoir de chicoré
sauvage, sarcifis sauvage, saletle et feuilles de ravon,
cependant jusqu'à présent, peu de morts, ny de malades.
Le jour de St-Médard, 8° de juin, il plut extraordinairenient,
à six heures du soir, le lendemain jour de dimanche fût
beau jusqu'à minuit, où la pluye recommença avec tant de
vigueur jusqu'au lendemain, jusqu'à midy, que la rivière de
Morgon entra un pied et demy d'hauteur dans l'église de
Notre-Dame des Mares et dans l'église des pères Cordeliers,
et mesmes dans la grande salle des malades de l'Hôtel-Dieu ;
elle ouvrit tous les tombeau de l'église parroissiale et des
Cordelliers ; elle laissa une infection si grande que l'on cessa
de faire l'office pendant l'espace de trois mois dans l'église
parroissiale ; l'office se faisoit à la chapelle des Pénitens
RIancs. Cette famine et ce déluge furent suivis d'une grande
mortalité de gens et presque tous les plus riches ; ce mal fut
inconnu à tout les médecins ; ceux qui n'usoicnt d'aucun
remède guérissoient, et tous ceux qui en usoient périssoient
ou restoient très longtemps malades. L'on appeloit ce mal une
fièvre pourprée, qui commançoit par des grands maux de
test

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Mayres

(Ardèche)

BMS
1710

INTROUVABLE

(info Geneanet, relevé Geneadom)

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Pully

paroisse réformée

(Suisse)

Archives Cantonales Vaudoises
Fonds numérisés en ligne

B
1782 - 1815
Eb 112/5
RMS 1/128.769
CH-ACV_RN-EB-112-5.pdf

vue / 368

folio

18/04/1788

tremblement de terre

 

25/05/1788

tremblement de terre

INTROUVABLE

(info Revue historique vaudoise, relevé Geneadom)

Le 18 avril 1788, on a apperçu à Pully et Lutry un leger tremblement de terre.
Le 25 may de ditte année, jour de dimanche, on a ressenti, à midy
un quart, un tremblement de terre qui a excite grand bruit dans la
cure : les planches et les boizeries ont fortement éclatté ; cependant,
par la grace de Dieu, il n'y a point eu de mal. On l'a ressenti aussi,
plus ou moins, par tout le village, de meme qu'à Lausanne et
presque dans tout le païs.

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Pully

paroisse réformée

(Suisse)

Archives Cantonales Vaudoises
Fonds numérisés en ligne

B
1782 - 1815
Eb 112/5
RMS 1/128.769
CH-ACV_RN-EB-112-5.pdf

vue / 368

folio

folio

1789

froid

INTROUVABLE

(info Revue historique vaudoise, relevé Geneadom)

L'an 1789, sur la fin du mois de mars, la grande cloche de Pully
s'etant fendue, on l'a envovde ä Vevey pour la retondre et
augmenter et le 9me aoust suivant a ete le premier dimanche que l'on
a commencé à la sonner.
Cette meme annde, 1789, l'hyver a ete si rude depuis avant le
nouvel an jusqu'au mois de mars, que les bleds ont dte cuits, aussi
le froment s'est vendu, en aoust, septembre et octobre, jusqu'à
36 baches le quarteron, à Lausanne, et le beau jusqu'ä 38 batz. Sur
la fin de l'anne;e il s'est vendu encore jusqu'ä 33 batz et les autres
graines à proportion.

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La Croix-Saint-Leufroy

(Eure)

S
1784

1783 - 1784

neige

INTROUVABLE

Cette année il y a eu une si grande quantité de neige, qui a commencé à la juin de l'année dernière et a continué jusqu'aux environs de la Chandeleur*, que lorsque la fonte s’en est faite, l'inondation qui arriva le jour des Cendres*, pendant qu'on était à l'office, et si rapidement que ceux qui étaient au-delà des 2 rivières (le bras moteur du moulin de la Croix et le grand chenal, c'est-à-dire les habitants de Crève-coeur), eurent beaucoup de peine à aller chez eux et trouvèrent leurs maisons pleines d'eau. Elle a été plus considérable qu’en 1711 et qu’en 1716, quoi qu’elle ait pas-sé (il veut dire probablement en 1716) sur la chaussée de l’avenue parce que l’arche de l’abbaye était bouchée. Mais cette année elle passait sur la chaussée qui est au bord de la côte de Crève-coeur. Ce hameau a été totalement inon-dé, une partie du bord de la Croix, le parc de l'abbaye, jusqu'au pied du château ont été inondés. Elle est montée plus haut dans ma cave de dessous la maison (le presbytère), d'un demi-pied* qu'en 1740 et d'un pied plus haut qu'en 1776. Enfin les eaux ont été si abondantes cette année qu'elles ont débordé considérablement au-delà de leur canal, depuis le mois de février jusqu’à la fin d'août de la même année 5 fois, et la récolte en grain comme blé, seigle, méteil, orge et avoine a été on ne peut plus médiocre, à cause de la grande sécheresse qui est venue dans les intervalles des premières inondations. Cette sécheresse a fait qu'on n’a pu faire de petites trêves que fort tard et les gelées ayant pris de bonne heure, elles ont été gelé totalement, ce qui a rendu cette denrée fort rare et fort chère. La sécheresse a fait aussi beaucoup de tort dans les autres pays, ce qui a rendu les fourrages fort rares. Il est encore à remarquer que la neige ayant duré fort longtemps a rendu l'hiver fort rude et qu'il y a eu pendant ce temps beau-coup de misérables. Il faut encore remarquer de plus que la neige, du moment qu'elle a commencé à tomber, n'a cessé de tomber tous les jours en fort grande quantité, de manière qu'il y en avait quand elle a commencé à fondre plus de 2 pieds. On tient même qu'il y en avait en beaucoup d'endroits jusqu’à 3 et 4 pieds.

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Olargues
Délibérations consulaires
1683 - 1700
187 EDT 6
BB 2

vue / 318

19/11/1697

foudre

INTROUVABLE

Passe à 1698 après le mois de septembre 1697. Rien vu en novembre 1696.

la foudre a détruit une partie du clocher

     

Dijon

Saint-Etienne

Registre de Sarpillon, secrétaire greffier de l'abbaye
1422 - 1645
G 165

vue /

folio 49

22/06/1506

foudre

INTROUVABLE

Seul le folio 26 a été numérisé en ligne.

Le 22, à 6 heures du soir, la foudre tombe sur le crépon de l'église Saint-Bénigne, un pan de la couverture est brisé; mais, « par le mérite de Monsieur Saint-Bénigne et la plus merveilleuse rescousse que l'on veist onques, il n'y eut pas grand dommage.

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