Commune
et/ou paroisse |
Cote(s)
AD |
Date
et type d'événement
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Transcription
du document |
Saint-Symphorien-de-Mahun
(Ardèche)
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BMS |
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INTROUVABLE
(info https://fr.geneawiki.com/index.php/Le_Grand_Hiver)
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Le froid commença par un air extrêmement
vif le jour de la fête des rois, et il fut si violent pendant fort
longtemps que tout devenait glacé même aussi près
du feu, et il est à remarquer que cent ans auparavant c’est-à-dire
l’an 1608, il fit un froid à peu près semblable qui
emporta aussi la récolte. L’on était en peine où
se mettre à l’abri de ce froid excessif et rigoureux, l’on
entendait les arbres les plus gros se fendre avec fracas par le milieu,
tellement que la majeure partie en fut étouffée, et le bruit
effroyable qu’on entendait annonçaient les signes qui devaient
précéder la fin du monde et le jugement universel ; De là
bien des pauvres moururent pour manquer du nécessaire à
la vie animale, ou de la rigueur du froid. On assure même que ce
froid violent saisit les entrailles et le cœur de plusieurs voyageurs
et les rendit victimes d’une pitoyable mort. Après le dégel,
il se fit une nouvelle glace pour un nouveau froid qui se manifesta bientôt
après, les semences furent étouffées ou pourries
dans le sein de la terre. Ici qui pourrait exprimer la consternation générale
de cet événement sinistre, Lorsque le printemps arriva,
au lieu d’apporter la joie ordinaire sur la terre par la verdure
des champs et par la fleur des arbres ; au lieu de consoler le laboureur
par l’espérance de ses fruits, ne lui présenta que
l’idée de la mort et du désespoir ; En effet le blé
seigle qui ne se vendait que 5 sous la quarte, lorsque cette désolante
intempérie eut lieu, augmenta considérablement, et au point
que le besoin de vivre et d’ensemencer de nouveau les terres, le
froment se vendit jusqu’à 12 F la quarte, le seigle 9 F la
quarte, le vin 28 F la somme, les pois ou haricots 8 F, le blé
noir 9 F, les truffes 3 F, le pain blanc 6 sous et le pain bis dont on
ne pouvait avoir à Annonay, que par des billets des consuls, 4
sous le reste des comestibles à proportion, excepté la viande
qui fut toujours assez bon marché. Il n’y a que ceux qui
vivaient en ce temps là qui puissent apprécier la misère
des pauvres ; En effet la plupart après avoir employé le
peu d’argent qui était en leur pouvoir pour s’aider
à subsister, vendirent leurs meubles même avec empressement,
et lorsqu’ils avaient épuisé cette ressource, ils
vendaient leurs propriétés avec le même empressement,
quoiqu’à fort bas prix, pour se garantir de mourir de faim.
Mais le Roi Louis 14, touché de la situation où cette calamité
publique avait réduit le bas peuple, promit par différentes
déclarations de faire rentrer chacun dans ses droits, en remboursant
le montant des acquisitions. Ce qui contribua à cette cherté
extraordinaire des vivres fut : 1° que le froid se fit sentir aussi
violemment dans tout le royaume et les nations voisines, de sorte que
l’un ne pouvait rendre aucun service à l’autre ; La
multitude des pauvres devint telle que ceux qui auraient été
dans le cas de faire des aumônes étaient réduits eux
même à la dure extrémité de la demande après
un certain temps; Ce qui contribua d’avantage à la misère
fut la dureté tout à fait criminelle des riches qui ne leur
tendirent que peu de secours, à la réserve de quelques uns,
mais en petit nombre ; sans doute parce que les uns étaient jaloux
de s’engraisser de la subsistance des malheureux et les autres craignaient
d’être atteints eux même par la disette, en comptant
trop peu sur la divine providence. Il y en eut beaucoup qui ne mangeaient
que de viande qui était encore à très bon prix ;
Ceux qui n’avaient point d’argent pour s’en procurer,
vivaient de quelques herbages, ce qui causa des maladies et en conduisit
plus au tombeau que la famine etc. Il se fit du pain de son, et quelques
uns mêlaient à un peu de farine du gland et des grappes de
raisin, Il mourait tous les jours des pauvres dans leurs maisons et dans
les rues, plutôt de faim que de maladie. Rien n’était
plus affligeant que de voir les portes des gens aisés assiégées
par les pauvres demander le plus pitoyablement, la mort peinte sur le
visage, quelques morceaux de pain qui étaient si rares pour eux
qu’ils passaient souvent plusieurs jours sans en gouter. Il se commettait
journellement des vols. Dieu versa une telle bénédiction
sur les orges et avoines qui furent semés après l’hiver,
qu’un sestier en produit jusqu’à vingt. Du reste, les
usuriers furent singulièrement punis de leur cupidité, car
la plupart ayant fait des accaparements en blé et autres objets
sujets à spéculation, se virent forcer à livrer à
un prix modéré ce qu’ils avaient accaparés
: en moins d’un Dieu répandit la bénédiction
sur la terre.
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BMS
1701 - 1734
1E 61/3
série communale
vue / 47
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1709 |
INTROUVABLE
(info
http://hg-gassin.chez-alice.fr, relevé Geneadom)
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Le
septième de janvier, au dit an, en Albigeois, l'hiver commença
rudement ; il fit quantité de neige jusqu'au vingt février
; les arbres furent pendant plusieurs jours couverts de glaçons,
et le froid fut si rude qu'on ne se souvenait plus d'en avoir vu de
semblable. Le vin glaçait dans les caves et faisait fendre les
barriques, le pain se gelait en quelque endroit que ce fut et jusqu'au
25 février. Les noyers périrent entièrement, plusieurs
chênes et quantité de pruniers et autres
arbres fruitiers se séchèrent, ce qui causa une si grande
disette qu'on
fut obligé à Albi de tenir le blé à 14 livres
le setier et d'en empêcher la sortie, les mois de mai, juin, juillet
et août. Il vint jusques audit temps à 20 livres
le setier et on obligea, par ordre
de Sa Majesté, de faire le dénombrement des grains que
chaque
particulier avait audit an, à la récolte qui fut le 16
d'août. Le blé
valait à Albi 24 livres le setier, le seigle 18 livres, les fèves
autant, ce qui dura jusqu'aux semailles. Au mois d'octobre, audit an,
la rivière du Tarn inonda si fortement que l'eau montait jusque
près la porte de l'église de la Madeleine, ce qui
causa beaucoup de dommage: elle emporta les toits des moulins d'Albi
jusqu'à Gaillac Cordes et inondait partie de la plaine qui est
le long du dit chemin, en sorte que pour aller d'Albi à à
Mailhoc, et l'eau abattit plusieurs maisons du côté des
Avalats. Cette inondation donna de la crainte à toute la ville
dAlbi qui fit une procession générale pour prier Dieu
de vouloir apaiser cette inondation.
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BMS |
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INTROUVABLE
(info http://archives.ariege.fr,
relevé Geneadom)
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l’an mil six cent
douze, il y eut une grande sécheresse sur la terre et demeura sans
pluie l’espace de quatre ou cinq mois que peu ne fut, tellement
que pour apaiser l’ire de Dieu, l’on fit de grandes processions
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Angles-sur-l'Anglin
Sainte-Croix
(Vienne)
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BMS
1741 - 1760 collection communale
69
vue / 99
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INTROUVABLE
(info
http://ge86.fr/, relevé Geneadom)
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05/12/1740
crue
inondation
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INTROUVABLE
(info
http://ge86.fr/, relevé Geneadom)
https://archives-deux-sevres-vienne.fr
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La nuit du 5 au 6 décembre 1740
la rivière de Creuse a tellement enflé ses eaux qu'elle
a découvert toutes nos plaines... son cours fut si rapide qu'elle
creusa
les terres jusqu'au rocq dont quelques unes étaient emblavées
en gros
bled, couvrit les prairies de pierres et de sable, renversa un grand
nombre de maisons, noya les bestiaux, emmena des meules, gerbes et
autres denrées des particuliers qui eurent peine à sauver
leur vie
par la fuite en abandonnant leurs maisons au gré de cette eau
impitoyable., jamais désolation ne fut pareille
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11/07/1698
orage
inondation |
INTROUVABLE
(info
https://mavieavec-alix-soizic.blogspot.com)
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Le vendredy onziesme juillet 1698 apres midy sur
le soir avons eu un orage si funeste et si grand q(u)e nous croyons tous
estre a la fin de nos iours, qui a duré 2 heures et demie du----s
en sorte q(u)e tout le bois de la voutte de l’église a esté
percé d’eau et tous le peuple obligez de la retire dans le
cœur de l’eglise. Les champs et la campagne toute couverte
d eau de 3 ou 4 pieds d’eau et de gresle au tiers ou plus en sorte
q(u)e cet orage n a pas esté moins funseste q(u)e celui du III
iuin passé et VI may et q(u)e le peuple des habitans de Piseaux
croient encore estre touts perdus et abismez ainsy q(u)e...
Signé Chenault
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BMS
1696 - 1736
4 E 1918
vue /
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22/08/1708
orage
pluie
grêle
1709
froid
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INTROUVABLE
Pas en ligne.
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Nota que le 22 du mois
d'aoust 1708, environ sur les buict heures du soir, il tomba
une gresle d'une grosseur extraordinaire l'espace environ
d'une heure ; elle fût presque universelle. Elle ne laissa rien
du tout dans la paroisse de Limas. Heureusement le bled
étoit cueilli ; la dixme du vin fut abandonnée. La récolte
du
bled fut si modique que ce fut une petite famine ; le bled
valut S 1. le bichet le 4 de février 1709. L'hyver fut si
violent et commença le lendemain des rois, par une bize si
extraordinaire que nul n'at jamais veu une semblable. La
Saône et le Rosne furent glacés dans ce niesme jour, et
d'une
glace d'une épaisseur de 26 pouces, les chareltes ont passé
sur le Rosne. Ce grand froit dura quinze jours avec tant de
violance que plusieurs moururent en chemin. Les bords de
la mer de Marseille glacèrent plus de 40 pas de loing. Le
quinze du mois d'avril suivant, le bled valut 60 I. la neuvaine.
L'on espérât jusqn'à ce jour du 15 avril, que les
bleds
que l'on avoit semé avant l'hyver paroistroient ; l'on fit
même des dcfifenses de relabourrer ces terres où l'on espéroit
les bleds. Mais le 15 avril étant passé, l'on resema toutes
les
terres avec orge, pezette et avoine et autre légume. L'orge
valut le bichet, lorsqu'il fallut le semer, le bLchet quatorze
livres ; la pezette valut autant, et l'avoine quatre livres le
bichet. La miséricorde de Dieu parut visiblement dans la
récolte des menus grains, car elle fut si abondante que ciiaque
mesure de grain que l'on semât en produisit quarante
bichet, en telle sorte que cette année de menus grains fut
plus vive et plus abondante que si la récolte n'avoit point
gelé
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BMS
1696 - 1736
4 E 1918
vue /
folio 73
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24/05/1709
froid
08/06/1709
pluie
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INTROUVABLE
Pas en ligne.
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A tel jour qu'aujourdhuy (24 mai 1709),
le gros pain, la livre valoit quatre sous, le pain blanc valoit
six sous ; le seigle valoit douze livres le bichet ; le fromant
valoit quatorze livres le biciict ; l'orge quatorze livres le
bichet. Le bichet de pezette et aricot valoit autant; le
bichet d'avoine 4 1. ; le bichet de bled noir valoit 12 I. Il ne
se cueillit auucn grain de bled, de seigle, ny de fronianl,
presque dans tout le royaume, à l'exception de quelques
coing de terre dans les hautes montagnes, qui se trouvèrent
couvertes de nèges et à l'abri d'une épouvantable
bize qui
arriva le lendemain des Roy, qui causa une si grande gelée,
qui durât tout le mois de janvier sans diminuer, que tous les
bleds gelèrent, et ipus les noyer et toutes les vignes. La
disette du pain fut si grande que les pauvres ne vescurent le
mois d'avril et de may que d'herbes de pré, .sçavoir de
chicoré
sauvage, sarcifis sauvage, saletle et feuilles de ravon,
cependant jusqu'à présent, peu de morts, ny de malades.
Le jour de St-Médard, 8° de juin, il plut extraordinairenient,
à six heures du soir, le lendemain jour de dimanche fût
beau jusqu'à minuit, où la pluye recommença avec
tant de
vigueur jusqu'au lendemain, jusqu'à midy, que la rivière
de
Morgon entra un pied et demy d'hauteur dans l'église de
Notre-Dame des Mares et dans l'église des pères Cordeliers,
et mesmes dans la grande salle des malades de l'Hôtel-Dieu ;
elle ouvrit tous les tombeau de l'église parroissiale et des
Cordelliers ; elle laissa une infection si grande que l'on cessa
de faire l'office pendant l'espace de trois mois dans l'église
parroissiale ; l'office se faisoit à la chapelle des Pénitens
RIancs. Cette famine et ce déluge furent suivis d'une grande
mortalité de gens et presque tous les plus riches ; ce mal fut
inconnu à tout les médecins ; ceux qui n'usoicnt d'aucun
remède guérissoient, et tous ceux qui en usoient périssoient
ou restoient très longtemps malades. L'on appeloit ce mal une
fièvre pourprée, qui commançoit par des grands
maux de
test
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BMS |
1710 |
INTROUVABLE
(info Geneanet, relevé Geneadom)
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Pully
paroisse réformée
(Suisse)
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Archives Cantonales Vaudoises
Fonds numérisés en ligne
B
1782 - 1815
Eb 112/5
RMS 1/128.769
CH-ACV_RN-EB-112-5.pdf
vue / 368
folio
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18/04/1788
tremblement de terre
25/05/1788
tremblement de terre
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INTROUVABLE
(info Revue historique vaudoise, relevé
Geneadom)
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Le 18 avril 1788, on a apperçu
à Pully et Lutry un leger tremblement de terre.
Le 25 may de ditte année, jour de dimanche, on a ressenti, à
midy
un quart, un tremblement de terre qui a excite grand bruit dans la
cure : les planches et les boizeries ont fortement éclatté
; cependant,
par la grace de Dieu, il n'y a point eu de mal. On l'a ressenti aussi,
plus ou moins, par tout le village, de meme qu'à Lausanne et
presque dans tout le païs.
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Pully
paroisse réformée
(Suisse)
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Archives Cantonales Vaudoises
Fonds numérisés en ligne
B
1782 - 1815
Eb 112/5
RMS 1/128.769
CH-ACV_RN-EB-112-5.pdf
vue / 368
folio
folio
|
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INTROUVABLE
(info Revue historique vaudoise, relevé
Geneadom)
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L'an 1789, sur la fin du mois de mars,
la grande cloche de Pully
s'etant fendue, on l'a envovde ä Vevey pour la retondre et
augmenter et le 9me aoust suivant a ete le premier dimanche que l'on
a commencé à la sonner.
Cette meme annde, 1789, l'hyver a ete si rude depuis avant le
nouvel an jusqu'au mois de mars, que les bleds ont dte cuits, aussi
le froment s'est vendu, en aoust, septembre et octobre, jusqu'à
36 baches le quarteron, à Lausanne, et le beau jusqu'ä 38
batz. Sur
la fin de l'anne;e il s'est vendu encore jusqu'ä 33 batz et les autres
graines à proportion.
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La Croix-Saint-Leufroy
(Eure)
|
S
1784 |
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INTROUVABLE |
Cette année il y a eu une si grande quantité
de neige, qui a commencé à la juin de l'année dernière
et a continué jusqu'aux environs de la Chandeleur*, que lorsque
la fonte s’en est faite, l'inondation qui arriva le jour des Cendres*,
pendant qu'on était à l'office, et si rapidement que ceux
qui étaient au-delà des 2 rivières (le bras moteur
du moulin de la Croix et le grand chenal, c'est-à-dire les habitants
de Crève-coeur), eurent beaucoup de peine à aller chez eux
et trouvèrent leurs maisons pleines d'eau. Elle a été
plus considérable qu’en 1711 et qu’en 1716, quoi qu’elle
ait pas-sé (il veut dire probablement en 1716) sur la chaussée
de l’avenue parce que l’arche de l’abbaye était
bouchée. Mais cette année elle passait sur la chaussée
qui est au bord de la côte de Crève-coeur. Ce hameau a été
totalement inon-dé, une partie du bord de la Croix, le parc de
l'abbaye, jusqu'au pied du château ont été inondés.
Elle est montée plus haut dans ma cave de dessous la maison (le
presbytère), d'un demi-pied* qu'en 1740 et d'un pied plus haut
qu'en 1776. Enfin les eaux ont été si abondantes cette année
qu'elles ont débordé considérablement au-delà
de leur canal, depuis le mois de février jusqu’à la
fin d'août de la même année 5 fois, et la récolte
en grain comme blé, seigle, méteil, orge et avoine a été
on ne peut plus médiocre, à cause de la grande sécheresse
qui est venue dans les intervalles des premières inondations. Cette
sécheresse a fait qu'on n’a pu faire de petites trêves
que fort tard et les gelées ayant pris de bonne heure, elles ont
été gelé totalement, ce qui a rendu cette denrée
fort rare et fort chère. La sécheresse a fait aussi beaucoup
de tort dans les autres pays, ce qui a rendu les fourrages fort rares.
Il est encore à remarquer que la neige ayant duré fort longtemps
a rendu l'hiver fort rude et qu'il y a eu pendant ce temps beau-coup de
misérables. Il faut encore remarquer de plus que la neige, du moment
qu'elle a commencé à tomber, n'a cessé de tomber
tous les jours en fort grande quantité, de manière qu'il
y en avait quand elle a commencé à fondre plus de 2 pieds.
On tient même qu'il y en avait en beaucoup d'endroits jusqu’à
3 et 4 pieds.
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Olargues |
Délibérations consulaires
1683 - 1700
187 EDT 6
BB 2
vue / 318
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INTROUVABLE
Passe à
1698 après le mois de septembre 1697. Rien vu en novembre 1696.
|
la foudre a détruit une
partie du clocher
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Registre de Sarpillon, secrétaire greffier de l'abbaye
1422 - 1645
G 165
vue /
folio 49
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INTROUVABLE
Seul le folio
26 a été numérisé en ligne.
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Le 22, à 6 heures du soir, la foudre
tombe sur le crépon de l'église Saint-Bénigne, un pan
de la couverture est brisé; mais, « par le mérite de
Monsieur Saint-Bénigne et la plus merveilleuse rescousse que l'on
veist onques, il n'y eut pas grand dommage. |
PAS ENCORE DE PAGE POUR CES
DOCUMENTS
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