Ouvert
depuis 2010, Le DU "Généalogie et histoire des familles" de
l’Université de Nîmes
était alors le seul diplôme universitaire français formant à la
généalogie familiale.

Rue du Docteur Georges Salan
CS 13019
30021 Nîmes Cedex 1
+33 825 314 116
25 places maximum sont ouvertes chaque année.Lors de la dernière session, 17 étudiants ont suivi cette formation. Malgré plus de 60 candidatures déposées, de nombreux candidats se sont désistés au dernier moment.
Principalement destinés aux personnes qui souhaitent en faire leur métier mais pas seulement, le DU compte en général un tiers d’étudiants en droit ou histoire, un tiers de salariés (dont des clercs de notaire) et un tiers de retraités. Pour cette raison, seul un quart des élèves de la dernière promotion souhaitaient en faire leur métier.
La sélection se fait sur dossier et lettre de motivation, à envoyer du 1er au 31 octobre 2014. Les résultats sont publiés mi-novembre. Les cours se déroulent eux de janvier à juin 2015 les vendredi et samedis matin afin de permettre aux personnes originaires d’une autre région d’y participer. Une formation à distance est actuellement à l’étude.
La formation théorique s'articule autour de trois axes : l’histoire moderne de la France, le droit des familles et les sciences historiques (à savoir la paléographie, l’héraldique et l’étymologie des noms de famille.) Même si le stage n’est pas obligatoire, celui-ci est vivement conseillé aux étudiants qui sont invités à le faire auprès d’un ou plusieurs services d’archives. Ce travail peut consister en l’arbre généalogique d'une personnalité locale ou régionale comme à l'histoire d'une personne ou d'une famille.
Les droits d'inscription s’élèvent à 150 euros pour les étudiants qui viennent de l’université de Nîmes (ils n’étaient que 4-6 en 2014) et à 900 euros pour les autres qui viennent de toute la France.
Nîmes lance sa formation de généalogie familiale à distance
C'est au tour de l'université de Nîmes (Unîmes) d'envisager une formation de généalogie familiale à distance, à l'image de son homologue sarthois qui inaugurera un cursus similaire à la rentrée 2015. Mais à la différence de ce dernier, l'université de Nîmes bénéficie déjà d'une bonne expérience sur le sujet, avec un diplôme d’université de Généalogie et histoire des familles attribué depuis cinq ans.
Cette formule, dispensée sur site, sera naturellement reconduite de janvier à juin 2016, à raison d'un cours chaque vendredi et samedi matin. Les dossiers sont à déposer en ligne durant le mois d’octobre précédant la session. Un comité de sélection se réunira début novembre et les résultats d’admission seront connus à la mi-novembre 2015.
Prix d’inscription : 150 euros pour les étudiants Unîmes (formation initiale) ; 900 euros pour le public non financé (formation à titre personnel) ; 950 euros pour le public financé (formation continue).
La formule à distance sera assurée via une plateforme pédagogique numérique dédiée, avec certains regroupements planifiés (les vendredis et/ou samedis). La présence des étudiants sur le site de Nîmes est requise en début de session, ainsi que pour les examens qui auront lieu à la fin de la session (plusieurs jours consécutifs). Le dépôt des dossiers s’effectuera durant le mois de juin 2015 ; le comité de sélection se réunira au début du mois de juillet. Les cours seront dispensés de septembre 2015 à janvier 2016. Dernier détail : l'étudiant devra disposer d'un ordinateur du type PC ou Mac qui soit connecté à Internet, muni d’une caméra et d’un micro-casque.
Prix d’inscription : 1.200 euros pour le public non financé ; 1.700 euros pour le public financé.
Contacts :
Isabelle Ortega Tél. 04.66.36.45.15
(responsable de la formation) : isabelle.ortega@unimes.fr
ou
Sandrine Peizerat tél. 04.66.70.74.80 (secrétariat de la formation continue)
: sandrine.peizerat@unimes.fr
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DU de Généalogie et Histoire des Familles de l'université de Nîmes, promotion Charlie (2015). |
Extrait de http://www.cosson-genealogieblog.fr #Challenge AZ E comme Emmanuel Daudé d’Alzon / Posté le 18 juin 2016 par Stéphane COSSON Les Charlie avaient pour mission de rechercher l’ascendance agnatique d’Emmanuel Daudé d’Alzon. J’ai beaucoup aimé le début de leur préambule à cette étude. J’ai eu envie de vous la faire partager : Le Cursus « Diplôme Universitaire Généalogie et Histoire des Familles » proposé par l’Université de Nîmes, en ouvrant à ses étudiants la porte de la généalogie, leur offre d’entrer dans autant d’univers tels l’histoire moderne, le droit des familles, la paléographie, l’héraldique, la sigillographie, l’anthroponymie. Dans le cadre de la mise en application de ces enseignements, Nous, les « Charlie » [Odile Barclay, Jean-Luc Clavel, Jean-Christophe Constantin, Anne-Claire Despont, Anne-Sophie Durand, Coline Godde, Jérémi Isnard, Marc Jampsin, Jean-Louis Lambert, Fabien Larue, Eric Le Sabazec, Isabelle Lorenzi, Cindy Lorenzini, Tiffanie Maestro, Cédric Pons, Nathalie Pouderoux, Stéphanie Ragaru, Ann’Eva Rampon, Dominique Ros, Amantani Sabatié-Bernat, Ambre Serre, Alain Soirat et Magali Vincent. Le cursus a débuté quelques jours seulement après l’attentat mortel perpétré le 7 janvier 2015 au siège du journal « Charlie Hebdo » à Paris ; notre groupe a d’emblée fait sien le slogan : « Je suis Charlie »], fabuleuse promotion 2015, avons reçu pour mission de réaliser un mémoire collectif basé sur la généalogie d’une personnalité régionale, laquelle était cette année : Emmanuel Daudé d’Alzon, prêtre catholique français et premier supérieur général de la congrégation religieuses nîmoise des Augustins de l’Assomption. Cet homme passionné est né le 30 août 1810, dans l’hôtel de la Condamine au Vigan, dans la région des Cévennes, dont l’histoire est très fortement marquée par le protestantisme. Il existe aujourd’hui plusieurs établissements d’enseignement dans le monde qui portent son nom, rendant hommage à ses valeurs, comme l’Institut Emmanuel d’Alzon à Nîmes, établissement catholique et privé, dans lequel il a été inhumé suite à son décès le 21 novembre 1880. Remonter dans la généalogie familiale d’Emmanuel Daudé d’Alzon a permis de mieux comprendre le personnage et son combat, tout en apportant une meilleure connaissance du contexte historique de cette région dans laquelle ont vécu sa famille et ses ancêtres. Pour mener à bien ce travail encadré par notre enseignant Stéphane Cosson, plusieurs séances de recherches généalogiques ont eu lieu au sein des Archives Départementales du Gard, situées rue du Forez à Nîmes. Le regroupement s’est fait chaque vendredi pendant six semaines. Nous remercions à cette occasion le personnel des AD30 qui s’est rendu disponible pour nous accueillir, mettre à notre disposition une salle pédagogique et nous accompagner. Sur toute la période, les «Charlie» ont gardé le contact entre eux via un espace numérique de travail et de nombreux mails échangés en vue d’organiser leur collaboration : se répartir l’étude des générations, explorer les inventaires des fonds d’archives, sélectionner les cotes à consulter, compiler les trouvailles, s’interroger sur les pistes à suivre, partager les découvertes bibliographiques, renseigner l’arbre généalogique, rédiger le mémoire, etc. L’entraide a merveilleusement bien fonctionné, l’esprit Charlie aurait-il soufflé sur tout ça ? … L’esprit Charlie, je ne sais pas. Mais j’ai eu par contre affaire à des fous, des fadas, des frappadingues, des tapés, et je pourrais continuer ainsi beaucoup dans les synonymes. Se dire à 5 heures du matin qu’il fallait peut-être arrêter de s’écrire et aller dormir, lâcher la recherche, non mais ils n’étaient pas bien ! Pensez-vous que des passionnés étaient dans la promotion ? Par passionné, je veux dire, qui travaille dans sa ligne de responsabilité bien plus de 8 heures par jour et souvent 6 à 7 jours sur 7, participe à des colloques, se remet en question dans son apprentissage et avance dans la professionnalisation à grands pas tout en publiant articles, livres et dévorant les publications des auteurs dans sa zone d’intérêt. La passion dévore. Je ne parle pas de passion « ressentie » mais vécue par des réalisations qui prouvent une vraie implication. Euh… Personnellement, je crois que la seule réponse est : oui. Complètement oui. Et j’ai pris un pied à leur apprendre. Je ne vous en parle même pas, il faut rester décent !
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